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Artiste peintre/oil painter
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 Bio

Ancienne des Beaux-Arts d’Épinal et de Reims, où elle a étudié l'art conceptuel, formée au dessin animé sur le tas après un passage à Gobelins l'école de l'image, Sandrine Stoïanov a coréalisé avec l'auteur-réalisateur Jean-Charles Finck deux courts métrages d'animation qui lui sont très personnels : Irinka & Sandrinka (2006) et Le Monde en Soi (2020), nominé aux César 2022. Pour ce dernier, le scénario exigeait qu’elle revienne à ses premières amours picturales et aborde une technique qu’elle n'avait jamais pratiquée : la peinture à l'huile. Ce fut un déclic. L'isolement et le temps du confinement aidant, très vite, elle a trouvé, au-delà d’influences bien digérées, une touche qui lui est propre, un geste personnel, sa "manière"... qu’elle décline depuis dans ses toiles. Ainsi, presque incidemment, elle est devenue peintre. Comme le personnage de son film (qui lui ressemblait déjà beaucoup). La vie imite l’art. Sa démarche artistique est de donner des visages à la mixité culturelle de la société urbaine. Vivre « le temps long » qu'exigent la technique de la peinture à l'huile et l'observation patiente de ses contemporains, pour révéler ce qu'ils simulent et ce qu'ils masquent, à la manière d'un Degas, d'un Lautrec, ou d'un Hopper peut-être, retrouvant ainsi la lumière d'un naturalisme social mais d'aujourd'hui. Peindre l'humain pris dans la modernité ses attachements, de ses contradictions et de ses aspirations, du poids de son quotidien et faire ainsi des portraits de gens qu'on n'a pas l'habitude de voir représentés sous cet éclairage, en particulier des femmes. Petit à petit, elle construit son oeuvre. Un catalogue à tirage limité, intitulé Le Monde autour, numéroté et signé, a été édité à l'occasion de son exposition au 104 de Granville en 2023. Il réunit un choix de ses premières toiles.

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